Faust... Au début, tu me faisais peur, je dois l'avouer... mais peu à peu, tu as su me rassurer par des gestes simples... Peu à peu je me suis attaché à toi. Mon coeur battait dans ma poitrine quand je te voyais. Le monde n'existait plus quand tes yeux croisaient les miens. Puis tout a basculé quand tu m'as embrassé... J'ai cru que j'allais imploser tellement les sentiments se bousculaient dans mon esprit... Je t'aime, j'en suis certain... Toi seul peut me faire oublier ce que j'ai vécu, ce que je vis et ce que je vivrais... Je n'ai plus peur, sauf que mon rêve s'arrête.