Yoite Rokujo

† Don :

Yoite est une personne au physique remarquable par sa maigreur. Il est grand, enfin pour un asiatique, il mesure son mètre soixante-dix. Il est pourtant de type européen, mais alors, il serait de taille moyenne. Cet homme est brun, portant les cheveux mi-long. Ses yeux sont bleus, d'un bleu sombre et profond. Sa peau est pâle, blanche, presque cadavérique. Ses mains, jusqu'à ses poignées sont noires, tout comme ses pieds jusqu'à ses chevilles. Son regard exprime sans cesse une espèce de regret, comme si il regrettait de se trouver là, comme si il désirait être effacé. De plus, c'est un fait remarquable, il souffre. Afin de camoufler son état physique, il porte une parka bleu foncé. Par dessous laquelle, il porte un col-roulé, blanc cassé. Il est vêtu d'un jean classique, et de chaussures de ville. Porte deux éléments marrons. Un béret, qu'il ne quitte presque jamais, et des gants de cuir, clair, dont il ne se sépare qu'au minimum.

Yoite semble être une personne solitaire, il est peut sociable, mais ce n'est pas pour se protéger. De son point de vue, il protège les gens, du cadavre ambulant qu'il est. D'ailleurs, il est sous traitement lourd, ce qui le rend naturellement plus réservé qu'il ne l'est réellement. Il n'a aucune joie de vivre, il déteste tout ce qui rapporte à la malade, et il lui est impossible de fuir ce monde. Il attend tranquillement de mourir, sachant que malgré sa douleur physique, bientôt il ne ressentira plus rien. Il est dégoûté de lui-même, en voyant ses extrémités mal alimenté en sang, ce qui à provoqué un pourrissement des tissus organiques. C'est ainsi qu'il se perçoit. Pour ce qui est de ses opposants il n'a aucune pitié, sa maxime est "Aucune pitié pour l'ennemie. S'il le peut, il vous tuera, faites-en de même." Une réplique qui à guidé sa vie depuis qu'il est enfant. Il se refuse à considéré qu'il puisse avoir des amis, aussi il n'a aucun comportement prédéfini avec. Il est un grand professionnel dans son domaine, car pendant un temps il s'est fait assassin, vivant du crime, jusqu'à ce qu'il se range, en voyant que tuer ne le soulageais pas dans sa mort.

Je ne me souviens pas vraiment de mon enfance, inutile de me questionner dessus, je vous répondrais que je suis né il y a peu, lorsque j'ai trouvé une véritable raison de vivre. Je suis Rokujo Yoite, pour vous. En réalité je me nomme Yoite Sagara. J'ai renié le nom de Sagara lorsque j'en ai eut l'occasion. Enfin, je ne vais pas vous faire tant d'histoire, passons sans plus attendre à moi, ce qui vous intéresse. Je suis né le 03/03/1994 à Kyoto, je n'ai aucun souvenir de lorsque j'étais nourrisson, je me souviens qu'au environ de mes huit ans j'étais en souffrance. Mes parents et tout mes proches me rejetais. Mon parcours est le même que nombre d'enfant de cet époque, et doté de pouvoirs. Je n'ai jamais sut d'où me venais ma faculté à contrôlé le mentale des gens, à créer dans leur esprits. J'en ai souvent abusé. Souvent pour éviter de me faire rouer de coups par mes parents. Je n'ai jamais pardonné à ces gens ce qu'ils m'ont fait, mais ne me suis jamais vengé, je les ai oublié. Plus tard j'ai compris d'où leur venait cet aversion pour moi. J'étais malade, oui, je m'en suis rendu compte lorsque je me mit à hurler de douleur régulièrement, tant mes poumons me faisaient mal. Comme si je me noyais dans un liquide brûlant. Puis plus rien, une bienfaisante absence de sensation. Seulement ma maladie progressa, et lorsque j'eut treize ans, l'ont dut m'hospitaliser. Je crachais du sang régulièrement. Au moins les traitements freine la progression de ma maladie, mais je sais que je ne dépasserais probablement pas les 35 ans. J'ai quitté l'hôpital, et c'est le jour de ma naissance. L'on m'avait apprit que je serais mort d'ici peu. Aussi je me suis lancé dans la vie comme un tueur sans merci, faisant voir à mes cibles ce que je voulais pour qu'elles se suicident. J'ai acquis une certaine notoriété, mais las de ce jeu macabre je me reconvertis, en entendant parler d'une école spécialisé pour enfant avec don. Et je me propose en tant qu'enseignant pour que plus jamais un jeune ne soit dans une situation que j'ai vécu, qu'il puisse mieux se contrôler lui-même.